En cette fin d'année, des milliers de voyageurs sont pris en otages par une grève des contrôleurs.

Même si la constitution protège le droit de grève (ce qui est normal dans un pays démocratique) et que la réquisition du personnel, n'est légalement pas possible aujourd'hui, pourquoi alors, ne pas faire comme en Italie, où les grèves dans les transports sont interdites à certaines périodes de l'année, comme le montre le tableau ci-dessous (source FR3, journal 19/20 du 22 décembre 2022).

A quand la même chose en France ?

Une grève qui va coûter très chère à la SNCF. La direction de l'entreprise a en effet indiqué que les voyageurs dont les trains ont été supprimés, pourront bénéficier de bons d'achats "d'une valeur équivalente à deux fois celle du trajet annulé", en plus du remboursement intégral du billet.